SECONDE JEUNESSE


Seconde jeunesse est une formulation (pour hommes et femmes) qui vise 4 actions :
• lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge (sarcopénie) ; 
• rajeunir les mitochondries ; 
• augmenter le taux de testostérone tout en restant dans les limites physiologiques (rétro contrôle hormonal) ; 
• remodeler votre silhouette sur le long terme




1 - Lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge ( sarcopénie ) 
Vos muscles, pour peu que vous ne les entreteniez pas, diminuent d’environ 15 % par décennie entre 30 et 80 ans. Il est vrai qu’à 30 ans votre masse musculaire représente 45 % du poids corporel, à 70 ans elle n’est plus que de 27 %. C’est à un âge avancé que l’on s’inquiète de cet état de fait. Nous nous adressons ici autant aux femmes qu’aux hommes. L’étude « Framingham » a montré que 65 % des femmes âgées de plus de 75 ans sont incapables de soulever une charge de 4,5 kg ! C’est autant un problème de masse musculaire que de force musculaire. Avec l’âge, le goût pour les protéines animales s’amoindrit. Les séniors assimilent moins bien les protéines, la capacité de l’organisme à les synthétiser diminue. Il faut bien avoir à l’esprit que la masse musculaire est un indicateur de pronostic de la survie ainsi que des capacités d’autonomie des seniors. La dénutrition multiplie jusqu’à quatre fois le risque de mortalité nous disent les différentes études. Heureusement, il existe des solutions. Celles-ci sont présentes dans Seconde Jeunesse.
La citrulline : Il s’agit d’un acide aminé qui n’entre pas dans la composition des protéines mais qui leur est pour autant essentiel. La citrulline agit sur le métabolisme protéique. Normalement, elle est fabriquée par l’organisme et n’a pas besoin d’être fournie par le bol alimentaire. Mais avec l’âge le corps n’en produit plus suffisamment, ce qui amène en partie la sarcopénie. 
La prise de citrulline permet dans un premier temps de détoxifier l’organisme en nettoyant le foie des excès d’ammoniaque. L’épuration du foie favorise alors une augmentation des acides aminés en périphérie, ce qui stimule la synthèse protéique musculaire. Il y a donc ici de quoi faire du bien à nos muscles, d’autant plus qu’avec la citrulline la synthèse protéique musculaire s’accompagne souvent d’une fonte de la masse grasse abdominale. Son action pour autant ne s’arrête pas là, elle rend service aussi dans le cadre de l’asthénie, diminue la sensation de fatigue et améliore donc la performance. Une étude faite par Osowoka en 2006 sur des rats a démontré que l’apport de citrulline dans la ration alimentaire pendant trois mois augmentait de 20 % le contenu protéique… et surtout permettait une élévation de 90 % de la synthèse protéique musculaire. Il a pu également être observé une diminution de 42 % de la masse grasse abdominale et une augmentation de 8 % de la masse maigre. Ce qui devrait en faire rêver beaucoup… 
Chez l’être humain, la moyenne des études cliniques s’accorde sur une augmentation de 25 % de la synthèse protéique musculaire. L’apport de citrulline s’associe bien sûr avec une activité physique régulière : 30 minutes à une heure chaque jour (marche, gymnastique, vélo), légèrement tonique mais sans forcer.
L’acide ursolique : il s’agit d’un acide présent dans les feuilles de néflier (Eriobotrya japonica dosé à 90 % d’acide ursolique.). L’acide ursolique est une petite merveille de la nature. 
L’acide ursolique est un acide gras qui augmente la synthèse musculaire au détriment des dépôts de graisse dans les adipocytes (le rêve!). Il permet de brûler des graisses (hanches, abdomen, fessier…) tout en stimulant la synthèse de nouveaux tissus musculaires et en préservant la masse musculaire maigre. Par ailleurs, c’est un anti-aromatase léger qui préservera donc un tant soit peu la testostérone et permettra un contrôle des œstrogènes. Sur les souris supplémentées en acide ursolique, la masse musculaire augmente de 15 % environ. Et la perte de graisse est presque identique en proportion. A noter que ces résultats sont obtenus sans changer le régime alimentaire. Les souris, en plus d’augmenter le volume des quadriceps, gagnent également en endurance ainsi qu’en force musculaire. Chez l’humain, ça marche aussi mais il faut être patient. Les résultats peuvent être étonnants sur le long terme, sur la prise de muscle, la préservation de la force, la perte de graisse. Retenez de ceci qu’avec patience vous pouvez resculpter votre silhouette. Enfin, sachez que l’acide ursolique régularise les taux sanguins de glucose, de cholestérol et triglycérides. Il stimule également la concentration d’irisine, ce qui en soi est logique au vu de ce que nous avons dit. Elle joue un rôle d’intermédiaire entre le tissu adipeux et le tissu musculaire. L’irisine permet d’augmenter les dépenses énergétiques et de diminuer l’obésité et la glycémie. Les centenaires en bonne santé sont caractérisés par des taux d’irisine sanguin supérieurs à la moyenne. 
La vitamine D : lorsque la vitamine D arrive aux muscles, elle en augmente la puissance et le bon fonctionnement. Des études ont montré que des apports de 1000 UI par jour augmentent le volume des muscles mais aussi leur tonicité. Ainsi, il a été prouvé chez les plus de 60 ans que les chutes diminuaient de 20 % avec un taux adéquat de vitamine D.

2 - Rajeunir les mitochondries
Plus que l’âge de nos artères, nous avons l’âge de nos mitochondries. Il s’agit de petites usines au sein de nos cellules qui produisent l’énergie dont elles ont besoin pour fonctionner, pour réparer l’ADN, répondre à l’oxydation…Ce sont des chaudières en lien avec notre métabolisme. Si celles-ci sont en partie défaillantes, la conversion des aliments en énergie sera moindre, alors seront augmentées éventuellement la fatigue chronique, la sarcopénie que nous avons citée au paragraphe précédent, la fibromyalgie, les risques de maladie d’Alzheimer et autres pathologies neurodégénératives, le cancer. Au vu de ce programme, mieux vaut bien entretenir nos usines. Nous en possédons dix mille milliards qui chaque jour produisent 40 kg d’ATP (molécule d’énergie). Mais avec l’âge, l’oxydation augmente, mettant à mal les mitochondries. Ainsi, selon les études, un tiers ou jusqu’à la moitié des plus de 35 ans ont une baisse d’ATP dans les mitochondries. Les causes sont multiples : manque d’oxygénation, hypothyroïdie, mauvais métabolisme des graisses, excès d’insuline, manque de cortisol. Ajoutons la pollution (métaux lourds, produits chimiques, pesticides, OGM), le traitement des eaux, les antibiotiques, la pollution électromagnétique… et bien sûr le stress. Ces pollutions sont des accélérateurs de vieillissement. Si la production d’ATP génère en soi des radicaux libres, la pollution en rajoute et fait pencher la balance du mauvais côté. Ainsi, au fil du temps, les mitochondries produisent moins d’énergie, sont de plus en plus percutées par des radicaux libres. C’est pourquoi à 80 ans on fatigue plus vite qu’à 20 ans, les muscles sont moindres ainsi que l’intellect. Il importe de limiter au possible les diverses pollutions précitées… ainsi que les mauvais choix alimentaires (une alimentation trop riche en hydrate de carbone n’est jamais bonne, tout comme les produits transformés). Bien dormir permet aussi de réparer ses mitochondries. Concernant les armes ou les atouts à notre disposition, nous avons sélectionné les trois plus pertinents : la coenzyme Q10, l’alpha R lipoïque et la carnitine.
 3 - Augmenter le taux de testostérone tout en restant dans les limites physiologiques 
Avant d’aller plus loin, une mise au point concernant les hommes. La question s’est posée de savoir si un niveau élevé de testostérone était associé à une augmentation du risque de cancer de la prostate, ce qui était auparavant admis. Mais en médecine, la vérité du jour n’est pas toujours celle du lendemain, et ce dogme basé sur de mauvaises interprétations a vécu. Car si tel était le cas, on pourrait s’attendre à ce que la chute de testostérone diminue le risque : or le cancer prostatique est plutôt symptomatique de l’homme âgé et se développe dans un milieu moins riche en testostérone.
Cependant, lorsque le cancer de la prostate (hormono-dépendant) est avéré, on limitera la testostérone.
Fowler et Whitmore, en se basant sur la découverte que les récepteurs prostatiques aux androgènes ont une capacité limitée à se lier à la testostérone (capacité au-delà de laquelle il n’y a plus d’effet) ont même élaboré le concept de saturation.
Ainsi, aujourd’hui de nombreuses études démontrent qu’un taux élevé de testostérone, contrairement aux idées reçues, est bénéfique pour la prostate. 
Une étude de Sheres, Mutsumoto, Sloan a établi que l’espérance de vie était plus courte chez les hommes aux faibles niveaux de testostérone que chez ceux ayant des niveaux normaux. Dans leur étude, la mortalité (toutes causes confondues) était de 34,9 % avec un faible niveau de testostérone contre 20,1 % pour les hommes ayant un niveau normal de testostérone.
Morgentaler et Rhoden, autres chercheurs, concluent eux aussi que le risque de cancer de la prostate est doublé si la testostérone est à faible taux. Mieux, de récentes preuves suggèrent que les hommes à faible testostérone risquent de développer un cancer de la prostate plus agressif.
Voilà pour la mise au point. A présent, voici tous les symptômes d’un manque de testostérone : prise de poids, fonte musculaire, baisse de la libido, augmentation du risque cardio-vasculaire, manque de sommeil, irritabilité, nervosité, baisse cognitive, perte de cheveux, peau sèche et risque osseux.
A noter que les femmes ménopausées ont tout intérêt, comme les hommes vieillissants, à générer naturellement de la testostérone… car celle produite par les ovaires cesse à la ménopause. Tout comme les hommes, la carence en testostérone génère surpoids, fonte musculaire, baisse du désir, de l’orgasme et de la libido, risque cardio-vasculaire, déclin cognitif, risque osseux (ostéoporose), instabilité, nervosité, peau flasque, procrastination. Tout un programme…
Que ce soit pour l’homme ou la femme, même combat, mêmes bénéfices. Il n’y a pas de danger de masculinisation pour la femme à prendre des précurseurs naturels de la testostérone comme la protodioscine du Trigonella dont nous parlons plus bas (c’est un composant de Seconde Jeunesse). C’est un stimulant naturel de la testostérone qui ne créera pas de dérèglement hormonal et ne stoppera pas le rétrocontrôle hormonal. A l’inverse, de la testostérone injectable obtenue par prescription médicale (ne respectant pas et court-circuitant le système endocrinien) peut avoir des effets secondaires. 
Si le Trigonella Foenum Graecum est autant intéressant, c’est parce qu’il contient des stéroïdes saponines telles la dioxine, la diosgénine et surtout la protodioscine. Cette dernière est la plus active pour augmenter les niveaux de testostérone et améliorer la fertilité. 
L’augmentation de testostérone améliore alors la masse musculaire, la perte de graisse, l’endurance, les fonctions sexuelles.
Protodioscine et libido : une étude confirme l’activité pro érectile de la protodioscine. Celle-ci agit en relâchant les muscles lisses et en augmentant le flux sanguin dans les corps caverneux. Ceux-ci est comme une éponge de petits nerfs et vaisseaux sanguins qui se gorge de sang lors de l’excitation sexuelle ; sa stimulation dépend de la relaxation des muscles génitaux. C’est donc autant valable pour l’homme que pour la femme, les corps caverneux se situant dans la verge ou le clitoris. Le protodioscine diminue d’ailleurs la frigidité chez la femme et stimule son désir.
A noter que la protodioscine est un stimulant général, elle restaure vigueur et vitalité. Elle favorise l’activité motrice et le tonus musculaire, intensifie la synthèse des protéines. La fatigue disparait littéralement.
Protodioscine et fertilité 
Chez l’homme : la protodioscine augmente de façon significative la mobilité des spermatozoïdes ainsi que leur nombre, mais également leur morphologie (diminution de leur anormalité). « Seconde Jeunesse » est donc aussi très utile aux jeunes dont la qualité du sperme et la fertilité sont en baisse continue. A forte dose, elle augmente aussi le volume de l’éjaculation. 
Chez la femme : La protodioscine améliore l’ovulation chez deux tiers d’entre elles. 
Protodioscine et troubles féminins : la protodioscine est le principe actif de la ménopause et des règles douloureuses. Son efficacité est redoutable dans ce domaine. Prendre alors « Seconde Jeunesse » un peu avant, pendant et un peu après les règles. Concernant les bouffées de chaleur, faire des cures préventives. A noter que la protodioscine est une réponse adaptée au syndrome des ovaires polykystiques. 
C’est donc un fait que la protodioscine nous donne accès à une seconde jeunesse, autant chez l’homme que chez la femme en accompagnement de l’andropause ou de la ménopause. Chacun y gagnera en vigueur à tous les niveaux. A noter que la protodioscine a d’autres atouts dans sa manche : action anti-inflammatoire, anti-oxydante, lutte contre le diabète, excès de cholestérol, ulcère gastrique, meilleure santé cardiovasculaire, vigilance mentale. « Seconde Jeunesse » contient du trigonella dosé à 20 % de protodioscine. 


Pour conclure, « Seconde Jeunesse » est une formulation indispensable de la personne avançant en âge (sarcopénie, mitochondries), mais aussi pour les jeunes en baisse de fertilité (qualité du sperme, ovulation), ainsi que pour l’âge moyen (troubles de la ménopause, règles douloureuses). Elle est aussi recommandée pour toute personne qui souhaite sur le long terme remodeler sa silhouette (fonte musculaire, prise de poids, perte de cheveux…).

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