C’était une châtaigne, avec l’âge c’est devenu une orange. C’est alors qu’elle s’est rappelée à notre bon souvenir. Il s’agit de la prostate. Les statistiques nous disent qu’à 40 ans seulement 20 % des hommes sont touchés par des problèmes de prostate, à 60 ans ils sont déjà 70 %, à 70 ans c’est 90 % et à 90 ans chacun s’accorde à dire que cela concerne quasi tout le monde. Pour peu que nous vivions longtemps, il y a peu de chance d’y échapper… à moins de prendre les devants et de rester châtaigne. C’est pour cette raison que nous avons créé PROSTAJADE (nombre de nos consommateurs patients nous y incitaient depuis des années, mais nous avons voulu prendre le temps pour proposer quelque chose d’efficace, de nouveau et prenant en compte de nombreux paramètres négligés, voire complètement ignorés…).PROSTAJADE s’utilise autant à titre curatif pour diminuer le volume de la prostate et retrouver un jet urinaire satisfaisant qu’à titre préventif pour empêcher la prostate de grossir. Pour les plus jeunes qui nous lisent, sachez que c’est à partir de 30 ans que la prostate commence à changer… pour nous poser problème une ou deux décennies plus tard.
PROSTAJADE inhibe les deux enzymes mises en cause dans le grossissement de la prostate : la (5-alpha réductase et l’aromatase. C’est la présence dans la formule de serenoa repens (fortement dosé à 45 % sinon cela n’a aucun intérêt), d’épilobe (dix pour 1) et de bisglycinate de zinc qui inhibent la 5-alpha réductase responsable de la transformation de votre testostérone en dihydrotestostérone (DHT). Cette DHT en excès stimule la prolifération des cellules prostatiques… C’est la présence dans PROSTAJADE de pygeum africanum (20 pour 1), de racine d’ortie (10 pour 1) qui inhibent l’aromatase responsable de la transformation de votre testostérone en œstradiol, la plus puissante des hormones femelles (l’homme âgé en a à terme plus qu’une femme ménopausée !) … qui elle aussi stimule la croissance de la prostate.
Il est à noter que les graisses d’une surcharge pondérale sont de véritables machines à hormones où les deux enzymes s’en donnent à cœur joie : embonpoint et prostate ne font pas bon ménage (si vous êtes jeune et obèse, nous vous conseillons de commencer le combat dès à présent).
Il est à noter que les graisses d’une surcharge pondérale sont de véritables machines à hormones où les deux enzymes s’en donnent à cœur joie : embonpoint et prostate ne font pas bon ménage (si vous êtes jeune et obèse, nous vous conseillons de commencer le combat dès à présent).
Si les extraits de plantes cités sont efficaces dans la mesure où ils sont bien dosés, certains peuvent avoir un effet négatif sur la libido. Nous avons compensé cet effet par l’apport de carnitine qui agit sur le désir sexuel, les dysfonctions érectiles, la satisfaction sexuelle… mais aussi sur la fatigue et la dépression. Il est une hormone à laquelle aucune formulation sur la prostate ne pense, elle est pourtant fondamentale : l’insuline. Les pics de glycémie sont accompagnés de l’augmentation de IGF1, facteur de croissance qui stimule la prolifération cellulaire ainsi que l’inflammation. Il y a une corrélation entre le taux de IGF1 et le taux de PSA (marqueur de la prostate). C’est pour cette raison que PROSTAJADE contient de la poudre de jus de noni qui non seulement régule la glycémie, est anti-inflammatoire, mais est aussi un fabuleux anti-angiogénèse : l’idéal pour la prostate. Le noni est également un anti-infectieux, tout comme l’épilobe que nous avons cité en amont. Ces deux ont aussi en commun une action anti-œdémateuse. Autre grand avantage du noni : il génère la libération d’oxyde nitrique dans de grandes proportions. L’oxyde nitrique favorise l’afflux de sang dans les corps caverneux du pénis et le relâchement des muscles lisses : ce qui favorise l’érection. C’est donc une solution aux dysfonctions érectiles. Les études observent une synthèse réduite de l’oxyde nitrique au niveau du tissu hyperplasique de la prostate. Il est donc évident que ni la prostate, ni la vessie d’ailleurs ne doivent manquer d’oxyde nitrique. Un autre ingrédient, présent dans PROSTAJADE , améliore grandement les récepteurs à l’insuline : l’acide R alpha lipoïque. Nous reparlerons de lui plus bas.
A présent, parlons d’un paramètre complètement ignoré des formulations sur la prostate : les perturbateurs endocriniens, appelés aussi xéno-œstrogènes. Ils sont hormono-mimétiques et plus puissants que les œstrogènes d’une part et difficiles à déloger d’autre part (l’invité qui s’incruste et qui ne veut plus partir). Le résultat est une perte d’hormones androgènes, une diminution de la fertilité, une éventuelle hyperplasie de la prostate. Tout le monde sait plus ou moins que les poissons de rivière à la sortie des bassins d’épuration se féminisent. De nombreux perturbateurs endocriniens font partie de la famille des halogènes : chlore, fluor, brome…
A présent, parlons d’un paramètre complètement ignoré des formulations sur la prostate : les perturbateurs endocriniens, appelés aussi xéno-œstrogènes. Ils sont hormono-mimétiques et plus puissants que les œstrogènes d’une part et difficiles à déloger d’autre part (l’invité qui s’incruste et qui ne veut plus partir). Le résultat est une perte d’hormones androgènes, une diminution de la fertilité, une éventuelle hyperplasie de la prostate. Tout le monde sait plus ou moins que les poissons de rivière à la sortie des bassins d’épuration se féminisent. De nombreux perturbateurs endocriniens font partie de la famille des halogènes : chlore, fluor, brome…
Dans cette même famille, on trouve l’iode… chassé ou mis en concurrence par son encombrante famille. Une supplémentation appropriée en iode favorise l’excrétion urinaire de ces dérivés fluorés, bromés, chlorés… indésirables. C’est d’autant plus important que l’iode n’est pas seulement stocké dans la thyroïde, mais également dans la prostate (chez la femme dans les ovaires et les seins) où il lutte contre ces perturbateurs endocriniens (la nature a tout prévu… sauf la pollution humaine) : mais plus les perturbateurs sont nombreux, plus votre stock d’iode s’épuise. Dans ce monde dans lequel nous vivons, il est donc impératif d’avoir un apport d’iode quotidien. C’est la raison pour laquelle nous avons mis du fucus vesiculosus, fortement dosé en iode, dans PROSTAJADE .
Une autre évidence est également passée à la trappe concernant les formulations sur la prostate : le foie. C’est lui qui assume plus de la moitié du métabolisme des œstrogènes. La détoxication se fait en deux phases : la première est la neutralisation des composés chimiques indésirables (présence d’antioxydants nécessaire), la seconde est la détoxication en elle-même où un composé protecteur se lie au composé incriminé et favorise son excrétion (présence d’éléments soufrés nécessaire). C’est là qu’intervient dans PROSTAJADE l’acide R alpha lipoïque dont nous avons parlé en amont. Il porte le surnom d’antioxydant universel car il passe partout y compris la barrière lipidique. C’est par ailleurs un dérivé soufré. Comme par hasard, nous commençons à en produire moins à partir de la quarantaine, la chute s’accentue fortement à la soixantaine. C’est en plus un chélateur de métaux lourds et donc, comme nous l’avons laissé entendre, un très puissant anti-radicalaire. Il augmente aussi le glutathion du foie dans des proportions considérables. L’association de l’acide R alpha lipoïque avec la carnitine, dont nous avons parlé précédemment, est un mariage plus qu’heureux : de nombreuses études ont prouvé les vertus rajeunissantes de ce couple.
Pour renforcer l’action sur le foie, nous avons également rajouté dans PROSTAJADE un autre composé organique soufré : le sulforaphane de brocoli. C’est un petit bijou. C’est l’inducteur le plus puissant des enzymes de la phase 2 de détoxication du foie. En amont, il inhibe les enzymes de phase 1 qui peuvent activer les pro-cancérogènes. Le sulforaphane aide par ailleurs à se détoxiquer des polluants atmosphériques (particules fines, tabac…), des pesticides, des métaux lourds. Il combat l’inflammation, augmente l’activité des cellules natural killer, améliore la réponse anti-virale, inhibe 23 bactéries différentes, mais surtout, le sulforaphane augmente la production d’enzymes qui dégradent la DHT. Enfin, il soulage l’obstruction de la vessie. Tout comme l’alpha lipoïque, il augmente bien sûr le taux de glutathion dans de grandes proportions. Le sulforaphane est rendu plus efficace en terme de biodisponibilité par la présence de myrosinase : celle-ci est présente dans le brocoli, mais elle est fragile. Celle qui est présente dans la moutarde est plus stable, c’est la raison pour laquelle il y a un peu de moutarde dans PROSTAJADE (il faut penser à tout, la biochimie est un art).
Il est un ingrédient qui devrait faire partie lui aussi de toute formule agissant sur la prostate, c’est pourtant un grand oublié : la mélatonine. Ce sont deux études, l’une sur les femmes aveugles qui développent moitié moins de cancer du sein, l’autre sur les femmes (non aveugles bien sûr) qui travaillent la nuit et développent presque moitié plus de cancer du sein, qui ont attiré notre attention. Tout ceci est en lien avec l’hormone du sommeil : la mélatonine. Celle-ci diminue à la fois la capacité de l’œstrogène de se lier aux récepteurs cellulaires, mais également la création de ces récepteurs. Concernant les hommes, un apport de mélatonine s’est montré aussi efficace que le Létrozole, l’inhibiteur d’aromatase le plus puissant de l’arsenal chimique connu pour supprimer la production d’œstradiol et la prolifération cellulaire. Les mauvais dormeurs ont plus de risque de développer un cancer de la prostate.
Par ailleurs, la mélatonine stimule la libido, entretient la joie de vivre, agit favorablement sur la glycémie. Elle est aussi appelée hormone anti-âge. Elle permet la mise en place d’un cercle vertueux : son apport favorisera un bon sommeil qui lui-même agira favorablement sur les niveaux de mélatonine, mais aussi sur la sensibilité à l’insuline. Le dosage de mélatonine dans PROSTAJADE n’est pas très élevé afin que l’action ne se propage pas à des phases qui ne sont pas des phases de réponse habituelle de la mélatonine.
PROSTAJADE contient également de la vitamine D3, du magnésium et du zinc dont nous avons brièvement parlé. Il a été démontré que la vitamine D ralentissait la croissance de la prostate. Certains chercheurs préconisent un apport de 1000 à 2000 UI pour faire décroître ou stabiliser le PSA. Quant au magnésium, c’est le Professeur Delbet qui préconisait d’augmenter la ration quotidienne pour stopper l’hypertrophie. Il a pu ainsi observer dans sa pratique la disparition des besoins de miction intempestifs et autres troubles prostatiques. Concernant le zinc, la prostate est le lieu de l’organisme où sa concentration est la plus élevée. Son accumulation dans les cellules prostatiques inhibe la croissance cellulaire et induit un contrôle de l’autocroissance par les cellules. Rappelons, comme nous l’avons dit, qu’il inhibe la 5-alpha réductase. Magnésium et zinc sont dans PROSTAJADE sous forme de bisglycinate afin de maximiser leur absorption ainsi que leur tolérance par l’organisme.
Un petit mot sur les plantes dont nous avons brièvement parlées au début de cette information au paragraphe de l’aromatase et de la 5-alpha réductase.
- Le Serenoa Repens réduit également l’inflammation, les envies pressantes d’uriner, favorise la vidange complète tout en augmentant le flux urinaire. Il relâche la contraction des muscles lisses (comme le noni), ceux-là même qui provoquent l’envie urgente d’uriner.
- Le pygeum africanum bloquera également la formation des prostaglandines pro-inflammatoires qui s’accumulent dans l’hypertrophie prostatique. Il module la contractibilité de la vessie, réduit la miction nocturne, la fréquence urinaire et son volume résiduel.
- La racine d’ortie a pour sa part la particularité d’être le meilleur amant de la SHBG, une protéine de transport avec laquelle se lie la testostérone. La racine d’ortie prend donc la place dans l’autobus (ou dans le mariage) de la testostérone qui alors reste libre (et est donc physiologiquement active dans l’organisme contrairement à celle qui est liée). Elle empêche également la SHBG, déjà liée à une hormone (DHT, œstrogène…) de s’attacher à des sites récepteurs de la prostate (c’est une amante jalouse). Enfin, elle est anti-inflammatoire.
- L’épilobe, pour sa part, réduit le taux de PSA, inhibe le cancer hormono-dépendant prostatique. Il est anti-inflammatoire, puissant anti-infectieux, qu’il s’agisse de la prostate ou de la vessie. Il agit autant sur l’aromatase que sur la 5-alpha réductase.
Vous l’avez compris, il était difficile de faire plus pertinent (d’où cette longue explication) ou plus efficace. Cela valait le coup d’attendre. Nous voulions proposer cette approche globale. Et s’il n’est qu’un seul complément alimentaire que les hommes doivent prendre, c’est bien PROSTAJADE.
Il ramènera de taux de PSA à la normal, réduira le volume de votre prostate ou l’empêchera de grossir, soulagera votre vessie, évacuera les perturbateurs endocriniens (xéno-œstrogènes), régulera votre glycémie, aidera votre foie, comblera vos carences en vitamine D, zinc, iode, magnésium, augmentera votre réponse immunitaire, facilitera votre sommeil… Et encore, on ne vous dit pas tout, un livre en cours d’écriture sera bientôt disponible.
Certains ressentent les premiers effets au bout de quelques semaines, d’autres au bout de quelques mois. Tout dépend de l’âge du capitaine et de l’état de son vaisseau. Si vous prenez PROSTAJADE à titre préventif (ce que nous recommandons), vous ressentirez peu d’effets, mais garderez votre prostate en santé. Gérer sa prostate est une histoire au long cours. Quant aux PSA il suffit souvent d’une boite pour que tout rentre dans l’ordre.
Une autre évidence est également passée à la trappe concernant les formulations sur la prostate : le foie. C’est lui qui assume plus de la moitié du métabolisme des œstrogènes. La détoxication se fait en deux phases : la première est la neutralisation des composés chimiques indésirables (présence d’antioxydants nécessaire), la seconde est la détoxication en elle-même où un composé protecteur se lie au composé incriminé et favorise son excrétion (présence d’éléments soufrés nécessaire). C’est là qu’intervient dans PROSTAJADE l’acide R alpha lipoïque dont nous avons parlé en amont. Il porte le surnom d’antioxydant universel car il passe partout y compris la barrière lipidique. C’est par ailleurs un dérivé soufré. Comme par hasard, nous commençons à en produire moins à partir de la quarantaine, la chute s’accentue fortement à la soixantaine. C’est en plus un chélateur de métaux lourds et donc, comme nous l’avons laissé entendre, un très puissant anti-radicalaire. Il augmente aussi le glutathion du foie dans des proportions considérables. L’association de l’acide R alpha lipoïque avec la carnitine, dont nous avons parlé précédemment, est un mariage plus qu’heureux : de nombreuses études ont prouvé les vertus rajeunissantes de ce couple.
Pour renforcer l’action sur le foie, nous avons également rajouté dans PROSTAJADE un autre composé organique soufré : le sulforaphane de brocoli. C’est un petit bijou. C’est l’inducteur le plus puissant des enzymes de la phase 2 de détoxication du foie. En amont, il inhibe les enzymes de phase 1 qui peuvent activer les pro-cancérogènes. Le sulforaphane aide par ailleurs à se détoxiquer des polluants atmosphériques (particules fines, tabac…), des pesticides, des métaux lourds. Il combat l’inflammation, augmente l’activité des cellules natural killer, améliore la réponse anti-virale, inhibe 23 bactéries différentes, mais surtout, le sulforaphane augmente la production d’enzymes qui dégradent la DHT. Enfin, il soulage l’obstruction de la vessie. Tout comme l’alpha lipoïque, il augmente bien sûr le taux de glutathion dans de grandes proportions. Le sulforaphane est rendu plus efficace en terme de biodisponibilité par la présence de myrosinase : celle-ci est présente dans le brocoli, mais elle est fragile. Celle qui est présente dans la moutarde est plus stable, c’est la raison pour laquelle il y a un peu de moutarde dans PROSTAJADE (il faut penser à tout, la biochimie est un art).
Il est un ingrédient qui devrait faire partie lui aussi de toute formule agissant sur la prostate, c’est pourtant un grand oublié : la mélatonine. Ce sont deux études, l’une sur les femmes aveugles qui développent moitié moins de cancer du sein, l’autre sur les femmes (non aveugles bien sûr) qui travaillent la nuit et développent presque moitié plus de cancer du sein, qui ont attiré notre attention. Tout ceci est en lien avec l’hormone du sommeil : la mélatonine. Celle-ci diminue à la fois la capacité de l’œstrogène de se lier aux récepteurs cellulaires, mais également la création de ces récepteurs. Concernant les hommes, un apport de mélatonine s’est montré aussi efficace que le Létrozole, l’inhibiteur d’aromatase le plus puissant de l’arsenal chimique connu pour supprimer la production d’œstradiol et la prolifération cellulaire. Les mauvais dormeurs ont plus de risque de développer un cancer de la prostate.
Par ailleurs, la mélatonine stimule la libido, entretient la joie de vivre, agit favorablement sur la glycémie. Elle est aussi appelée hormone anti-âge. Elle permet la mise en place d’un cercle vertueux : son apport favorisera un bon sommeil qui lui-même agira favorablement sur les niveaux de mélatonine, mais aussi sur la sensibilité à l’insuline. Le dosage de mélatonine dans PROSTAJADE n’est pas très élevé afin que l’action ne se propage pas à des phases qui ne sont pas des phases de réponse habituelle de la mélatonine.
PROSTAJADE contient également de la vitamine D3, du magnésium et du zinc dont nous avons brièvement parlé. Il a été démontré que la vitamine D ralentissait la croissance de la prostate. Certains chercheurs préconisent un apport de 1000 à 2000 UI pour faire décroître ou stabiliser le PSA. Quant au magnésium, c’est le Professeur Delbet qui préconisait d’augmenter la ration quotidienne pour stopper l’hypertrophie. Il a pu ainsi observer dans sa pratique la disparition des besoins de miction intempestifs et autres troubles prostatiques. Concernant le zinc, la prostate est le lieu de l’organisme où sa concentration est la plus élevée. Son accumulation dans les cellules prostatiques inhibe la croissance cellulaire et induit un contrôle de l’autocroissance par les cellules. Rappelons, comme nous l’avons dit, qu’il inhibe la 5-alpha réductase. Magnésium et zinc sont dans PROSTAJADE sous forme de bisglycinate afin de maximiser leur absorption ainsi que leur tolérance par l’organisme.
Un petit mot sur les plantes dont nous avons brièvement parlées au début de cette information au paragraphe de l’aromatase et de la 5-alpha réductase.
- Le Serenoa Repens réduit également l’inflammation, les envies pressantes d’uriner, favorise la vidange complète tout en augmentant le flux urinaire. Il relâche la contraction des muscles lisses (comme le noni), ceux-là même qui provoquent l’envie urgente d’uriner.
- Le pygeum africanum bloquera également la formation des prostaglandines pro-inflammatoires qui s’accumulent dans l’hypertrophie prostatique. Il module la contractibilité de la vessie, réduit la miction nocturne, la fréquence urinaire et son volume résiduel.
- La racine d’ortie a pour sa part la particularité d’être le meilleur amant de la SHBG, une protéine de transport avec laquelle se lie la testostérone. La racine d’ortie prend donc la place dans l’autobus (ou dans le mariage) de la testostérone qui alors reste libre (et est donc physiologiquement active dans l’organisme contrairement à celle qui est liée). Elle empêche également la SHBG, déjà liée à une hormone (DHT, œstrogène…) de s’attacher à des sites récepteurs de la prostate (c’est une amante jalouse). Enfin, elle est anti-inflammatoire.
- L’épilobe, pour sa part, réduit le taux de PSA, inhibe le cancer hormono-dépendant prostatique. Il est anti-inflammatoire, puissant anti-infectieux, qu’il s’agisse de la prostate ou de la vessie. Il agit autant sur l’aromatase que sur la 5-alpha réductase.
Vous l’avez compris, il était difficile de faire plus pertinent (d’où cette longue explication) ou plus efficace. Cela valait le coup d’attendre. Nous voulions proposer cette approche globale. Et s’il n’est qu’un seul complément alimentaire que les hommes doivent prendre, c’est bien PROSTAJADE.
Il ramènera de taux de PSA à la normal, réduira le volume de votre prostate ou l’empêchera de grossir, soulagera votre vessie, évacuera les perturbateurs endocriniens (xéno-œstrogènes), régulera votre glycémie, aidera votre foie, comblera vos carences en vitamine D, zinc, iode, magnésium, augmentera votre réponse immunitaire, facilitera votre sommeil… Et encore, on ne vous dit pas tout, un livre en cours d’écriture sera bientôt disponible.
Certains ressentent les premiers effets au bout de quelques semaines, d’autres au bout de quelques mois. Tout dépend de l’âge du capitaine et de l’état de son vaisseau. Si vous prenez PROSTAJADE à titre préventif (ce que nous recommandons), vous ressentirez peu d’effets, mais garderez votre prostate en santé. Gérer sa prostate est une histoire au long cours. Quant aux PSA il suffit souvent d’une boite pour que tout rentre dans l’ordre.